[![whitestboyalive_skivkoll](http://www.bastienleblanc.com/wp- content/uploads/2009/12/whitestboyalive_skivkoll-300x300.jpg)](http://www.bastienleblanc.com/wp- content/uploads/2009/12/whitestboyalive_skivkoll.jpg)Après avoir grandement apprécié King Of Convenience, on ne peut pas

passer à côté du projet parallèle de la moitié du groupe. The

Whitest Boy Alive, fin, intelligent, il a presque tout pour lui.

![image1](http://www.bastienleblanc.com/wp- includes/js/tinymce/plugins/wordpress/img/trans.gif)

On sait pas trop où caser cet album. De l’electro? Non il suffit pas

de quelque sons pour ça. Ou du funk, du folk. C’est tout simplement un

peu de tout ça! Et c’est remarquable de sortir un mélange homogène

de toutes ces sonorités presque aux antipodes les unes des autres.

Cet album s’écoute, sans se poser de questions. C’est doux, ça file.

On pourrait avoir peur de s’ennuyer avec ces boucles electro, cette

guitare funk, cette voix à la songwriter, ce tempo lent et cette

simplicité apparente. Mais tout au contraire on est bercé, emmené a

la fin de l’album sans y prêter attention.

Le morceau Roller Coaster Ride ( en français tour de montagne russe)

est une pure merveille. Jouant entre le texte sur ce manège qui doit

aller vite et fort et la douceur de la musique. On se croit sur ces

montagnes russes au ralenti, le temps de fige presque.

Oui le temps s’arrête. Suspendu à quelques notes. Distillées au

compte goutte, mais juste au bon moment. Et on admire la qualité de

cet album, qui fera bonne place aux soirées au coin du feu de cette

hiver.

Ecouter l’album du spotify